Faire passer l’humain avant les profits, c’est payant!

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L’économie sociale a le vent dans les voiles, en ces temps de reprise que le gouvernement Legault veut «inclusive et durable». Un exemple frappant est celui de l’opération «Économie sociale: j’achète!» pilotée par la Conseil d’économie sociale de l’île de Montréal (Césim), qui a vu en 2020 la signature de 418 contrats pour une valeur de plus de 24 M$. Ces contrats ont permis à une trentaine d’entreprises d’économie sociale montréalaises de faire affaire avec une trentaine d’institutions publiques et d’entreprises privées. Ils ont contribué, entre autres, à la réinsertion socioprofessionnelle de personnes éloignées du marché du travail, à la lutte pour la sécurité alimentaire et au verdissement d’espaces publics.

C’est que l’économie sociale met l’humain au cœur des décisions d’affaires, et non plus «le profit à tout prix». Elle a pour piliers «la démocratie, l’équité et la solidarité». «Son postulat est que si l’on veut changer le monde, il faut commencer par changer l’économie», dit Béatrice Alain, la directrice générale du Chantier de l’économie sociale, un organisme à but non lucratif qui a pour principal mandat la promotion et le développement de l’entrepreneuriat collectif.

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